Mamagoto
Les petits plats dans les grands pour cette cuisine franco-japonaise
Dans la cuisine
Ici, on fait bien plus que “jouer à la dinette” (la version française de “Mamagoto”) ! Avec leur table franco-japonaise à équidistance entre la gare de l’Est et la gare du Nord, Koji Tsuchiya (en cuisine) et Thomas Loustau (aux manettes) font un pied de nez à la mauvaise réputation des restos de bord de gare.
Dans l’assiette
Oeuf mollet frit servi avec un sabayon riche en chlorophylle et en ail des ours pour entrer en matière(s). On continue avec un lieu noir, coques et asperges vertes grillées ou un plus copieux udon, fin bouillon de bonite, régressive croquette de gambas et kimchi maison. Le matcha annonce la couleur du dessert, et se glisse dans un cake au chocolat blanc et crème légère au mascarpone.
Dans le verre
En matière de vin, Mamagoto en connaît un rayon ! Pendant les confinements, l’adresse s’est presque transformée en cave, et on y vend toujours des bonnes quilles de “vin propre” à prix caviste.
Dans la salle
En plus du Chinon, du chiné en veux-tu en voilà ! Vieilles radios, cartes d’écolier, mobilier années 70 viennent s’acoquiner aux jolies suspensions nippones.
Le petit plus
Les baos très cochon 100% maison, sur place ou à emporter en soirée.
Crédits : Laurène Petit & The Social Food
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Laurène Petit



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