Le Singe à Paris
Une carte qui change au fil des saisons, des assiettes à partager et des vins vivants et singuliers.Dans la cuisine
Si le nom de cette table nichée à quelques encablures du marché d’Aligre est un clin d’oeil au film “Un singe en hiver”, la carte, elle, change bel et bien au fil des saisons ! Belmondo et Gabin valideraient sans aucun doute la cuisine brute et créative du jeune chef Pierre-Etienne Minard.
Dans l’assiette
Des plats lèche-doigts en petites portions à partager. Ici, le produit est central, jusque dans les intitulés sans chichi : aubergines / tahiné / citron noir (d’un fondant exceptionnel), épinard / pêche / beurre noisette (à tomber) ou encore haricots verts / anguille / aillet (croquants à souhait). En dessert, le fondant au chocolat vaut le détour.
Dans le verre
Blancs, rouges, rosés et même oranges, les vins de la cave du Singe sont tous vivants et singuliers. Pour étancher les soifs non alcoolisées : Bissap, kombucha ou sirop de rhubarbe.
Dans la salle
Briques apparentes, tomettes au sol et tables en bois : là encore, on est dans le brut ! Les fleurs séchées, les Dames-Jeanne et les pans de murs bleu nuit adoucissent l’ambiance de la salle qui donne sur la cuisine ouverte.
Le petit plus
Une terrasse agréable à l’angle de cette ruelle vivante du 12ème pour profiter des apéro et grignotages des soirées estivales.
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Laurène Petit
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