Dans la cuisine
Près des jardins du Palais Royal, on se régale d’une cuisine de marché. Mark, le père aux commandes du restaurant depuis 1997, a laissé la place à son fils Adrian depuis 2016. Les valeurs familiales se perpétuent de génération en génération en mettant toujours au cœur de l’assiette le produit, son goût et son authenticité. Le nom Macéo est un clin d’œil au saxophoniste américain Macéo Parker.
🍽 Dans l’assiette
Une cuisine moderne, délicate, de saison et originale proposée midi et soir avec un menu très accessible, de l’entrée au dessert. En hiver, les champignons sont à l’honneur. Girolles poêlées pour accompagner un œuf mollet, à déguster avec un pesto de roquette et noix de Grenoble fait maison. À suivre, une noix de veau tendre à souhait dont la cuisson rosée fond en bouche. L’accompagnement ? Une généreuse portion de trompettes sautées et un cannelloni farci aux topinambours, travaillés en purée et plus croquants, l’idée est délicieuse et met à l’honneur ce tubercule souvent boudé. En dessert une panna cotta de brebis, clémentine Corse et granola maison. Un dessert léger, frais et goûteux !
Dans le verre
On retrouve tous les vins de la cave-boutique du restaurant : repartir avec votre bouteille appréciée lors du dîner, c’est possible ! Au choix, plusieurs vins de France et du monde en 75cl ou en magnum. La carte des vins représente donc pas moins de 10 pages de lecture… Sur les conseils du sommelier c’est un Chinon Tradition qui a très bien accompagné la noix de veau.
Dans la salle
Le style second Empire nous fait voyager dans les couloirs du temps. Les plafonds sculptés sont d’une rare beauté. C’est spacieux, les tables recouvertes d’une nappe blanche offrent une ambiance guindée. Les miroirs agrandissent davantage les pièces et proposent un cadre très élégant.
Le petit plus
Les multiples salles pour les réceptions privées.
Crédits : Hélène Borderies et Maceo
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Hélène Borderies
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